~Une foi à la lumière, l’atour du paradis~

 

Tournant le dos au blanc , du loin de sa masse nord ,

Nous partîmes dès l’aurore , cueillir à pas de géant ,

En la demeure du temps , la rose des chercheurs d’hors ,

Celle donnant songes aux corps , en voûte par éléments .

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Dame chance au rendez vous , souhaitée depuis des lunes ,

De bonne heure fait fortune , sans aucune faute de goût ,

Tissant de bout en bout , vers chacun son rêve diurne ,

Cette foi en cause commune , l’augure roi désavoue.

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La clef de vert vivants , lors d’un séjour sans bris ,

Aux portes du Paradis , ouvre nos regards vaillants ,

Dehors le nez au vent , l’arche est ceinte d’énergies ,

Ce fil d’Ariane relie , aux tours les cheminants.

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Dans le sillage des ans , le pas sage sert de lien

Compagnon transalpin , l’ancien en soi prudent ,

Sur ces terrains glissants , d’audace guide nos chemins ,

Face à notre ange gardien , s’efface le mauvais sang .

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Hors deux cordées de quatre , font nombre d’infini ,

Une boucle alors relie , ceux dont l’étoile aime battre ,

Sous les rayons de l’astre , au rythme de l’harmonie ,

« Ecouter l’onde d’autrui , évite en ronde désastres « 

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L‘Or blanc reste à ce prix , son cours ma foi sous vents ,

Se fixe au fil du Temps , à l’ombre du Paradis

L’ailleurs se pare ici , de mille reflets changeants ,

Au seuil de l’enchantement , blanche tour est pure Magie.

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Sa vue m’inspire folie , à vivre passionnément ,

Tel aimer l’isolement , à fleur du paradis ,

Le cœur donne à l’envie , toujours un bleu mordant ,

Nuages sont d’océans , ma muse une île à vie.

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Au point d’ancrage joli , la madone veille aux trois ,

Son port d’attache au delà , transforme l’étoffe ainsi ,

A ceux revenant d’ici , se greffe le don de soie ,

Parfois à portée de bras , être son héraut suffit .

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Loin de tenir la corde , en matière d’alchimie ,

Mon âge de faire ici , trône au sommet de la horde ,

Nul bruit sème la discorde , l’oiseau y fait son nid ,

Au bref instant de répit , mon âme dragon s’accorde.

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Chapeau bas les ami(e)s , grand merci simplement ,

Cette course naturellement , l’air de rien justifie ,

Un petit brin de poésie , à la mémoire d’écran ,

Son total bienveillant , soigne nos cuirs endurcis.

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Croisant non sans soucis , à pied la mauvaise neige ,

Notre bonne humeur s’allège , tout en gardant de l’allant ,

Si certains sans un cri , font mine de faire semblant ,

D’autres sont donnés partant , ayant compris le manège.

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Etoile ou sortilège ? Victor en Italie ,

Vestige d’une saine magie , résiste à l’état de siège ,

Sans aucun privilège , nous étions juste bénis ,

Demain sera Mont pourri , loin d’être le Florilège .

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Le ciel porte en emblème , le feu d’une alchimie ,

Plongeant au delà des nuits , un septième à la belle ,

Ce parcours si réel , à tout jamais s’inscrit ,

Au cœur de sept amis , dont la voie s’entremêle .

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NéO~