Lucidité
Mon Frère le Loup a l’Avis rude ,
Hors son Regard voit sans Pitié ,
Le Beau Milieu des étrangers ,
Envahir son Monde fait d’Orées .
Leurs illusions pour Certitudes ,
Ne font pas le conte en Amitiés ,
Quand l’Histoire lie dans la Forêt ,
Elle dore les Liens sans Servitude ,
Orchestre les Cordes trop policés .
~
Un Libre Cours vaut Mille Passages .
~
Sous le glacis de Froids Sourires ,
L’opposition par foi dérange,
Hors en la meute chacun s’exprime ,
De par Respect il va s’en dire ,
Chacun Aimant ses Habitudes .
L’ensemble trouve sens au fil d’échanges ,
Quand la Parole jamais n’élude ,
Le Chant d’Hier use de sa Lyre ,
Fait la part belle aux Vieilles études ,
Mais demeure claire au gré des Rimes .
~
Auprès de l’Une les mots Voyagent.
~
Dans le Sillage d’Échos étranges ,
l’écran remplace les Songes d’Eveils .
L’esprit en Quête de Solutions ,
Apprend donc en Programmations ,
Quitte à en Perdre son Sommeil .
Il Fait usage du vœu des Anges ,
Cesser la Farce d’une Telle Vision ,
Trop de plateaux nous serve la Fange ,
Hors le Mensonge ternit le Soleil.
~
Sers toi d’ ta Tête , nom d’un Son d’Âge.
~
Dans la Lucarne Tout Beau Parleur ,
Se joue des Tours & de la Magie ,
Pour lui la Vie hors Citadelles ,
Reste une Nature sans Harmonie ,
Loin du Réel nulle part Ailleurs ,
N’existe sans la Technologie ,
Pourtant le Flux d’abord détruit ,
Capture le Cœur d’esclaves rebelles ,
Contre la Révolte propose l’ennui :
« Meurt étincelle au fil des Heures »
~
La Fleur de l’Âme part au Lavage .
~
La Rage envers ce Monde Perdu,
Se dilue telle entre quatre Murs ?
Lucide est sens du Solitaire ,
Ma Foi où la Valeur perdure ,
Le Loup d’Antan croisera le Cerf ,
Deux vont de Pair dans la Nature .
~
Pour Forger l’Onde d’un Neuf Alliage .
~
Libre de Fers en écritures ,
La Plume d’azur du Loup de Mère ,
Accompagne donc la Dragonnière ,
Ces Chantres Flambent sans concessions ,
D’Injustes Visions ayant Dents Dures ,
Dans l’Antre verte de leurs tanières ,
Lueur est Muse de l’Ouverture ,
Nul n’est Aveugle en Perceptions ,
Mais un Maillon de l’Aventure .
~
Le Lien s’accorde entre Partages .
~
Au Temps de démontrer le vain ,
Chaque Jour apporte son lot de Changement ,
De Nombreux Sceaux scellent le Divin ,
Les chercheurs d’Hors y croient pourtant ,
Leur Quête en soi est Légendaire ,
Aux Loups d’hiers allant mourant
D’autres demains seront Salutaires ,
A la Lumière des évènements ,
Au Delà de nos plus Simples Manières ,
Laissons Chasseurs devenir Marchands ,
Le Cours de l’Onde Change Maintenant ,
Le Taux Vivant des Âmes de Pierre ,
En Êtres de tout Points différents .
~
Ainsi la Source renouvelle l’Ère ,
En Pied à Terre pour ses Enfants .
~
NéO~
A nos Belles Valeurs,
Que sont l’Hors et le Temps.
L’Hors pour vivre Autrement.
Et le Temps , qui Lentement.
Apporte l’Onde du Changement ,
Auprès d’un Monde,
Que j’ai à Coeur.
NéO~
Toutes les choses sont reliées entres elles.
Déclaration d’un chef indien Seattle, en 1894,en réponse au président Cleveland qui proposait, au nom des Etats-Unis d’Amérique, d’acheter les dernières terres du peuple indien.
» Comment peut-on vendre ou acheter le ciel, la chaleur de la terre ? Cela nous semble étrange. Si la fraîcheur de l’air et le murmure de l’eau ne nous appartient pas, comment peut-on les vendre ? »
» Pour mon peuple, il n’y a pas un coin de cette terre qui ne soit sacré. Une aiguille de pin qui scintille, un rivage sablonneux, une brume légère, tout est saint aux yeux et dans la mémoire de ceux de mon peuple. La sève qui monte dans l’arbre porte en elle la mémoire des Peaux-Rouges. Les morts des Blancs oublient leur pays natal quand ils s’en vont dans les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre si belle, puisque c’est la mère du Peau-Rouge. Nous faisons partie de la terre et elle fait partie de nous. Les fleurs qui sentent si bon sont nos sœurs, les cerfs, les chevaux, les grands aigles sont nos frères ; les crêtes rocailleuses, l’humidité des Prairies, la chaleur du corps des poneys et l’homme appartiennent à la même famille. Ainsi, quand le grand chef blanc de Washington me fait dire qu’il veut acheter notre terre, il nous demande beaucoup… »
» Les rivières sont nos sœurs, elles étanchent notre soif ; ces rivières portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler tout cela et apprendre à vos enfants que les rivières sont nos sœurs et les vôtres et que, par conséquent, vous devez les traiter avec le même amour que celui donné à vos frères.
Nous savons bien que l’homme blanc ne comprend pas notre façon de voir. Un coin de terre, pour lui, en vaut un autre puisqu’il est un étranger qui arrive dans la nuit et tire de la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas sa sœur, mais son ennemie ; après tout cela, il s’en va. Il laisse la tombe de son père derrière lui et cela lui est égal ! En quelque sorte, il prive ses enfants de la terre et cela lui est égal. La tombe de son père et les droits de ses enfants sont oubliés. Il traite sa mère, la terre, et son père, le ciel, comme des choses qu’on peut acheter, piller et vendre comme des moutons ou des perles colorées. Son appétit va dévorer la terre et ne laisser qu’un désert… »
» L’air est précieux pour le Peau-Rouge car toutes les choses respirent de la même manière. La bête, l’arbre, l’homme, tous respirent de la même manière. L’homme blanc ne semble pas faire attention à l’air qu’il respire. Comme un mourant, il ne reconnaît plus les odeurs. Mais, si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est infiniment précieux et que l’Esprit de l’air est le même dans toutes les choses qui vivent. Le vent qui a donné à notre ancêtre son premier souffle reçoit aussi son dernier regard. Et si nous vendons notre terre, vous devez la garder intacte et sacrée comme un lieu où même l’homme peut aller percevoir le goût du vent et la douceur d’une prairie en fleur… »
» Je suis un sauvage et je ne comprends pas une autre façon de vivre. J’ai vu des milliers de bisons qui pourrissaient dans la prairie, laissés là par l’homme blanc qui les avait tués d’un train qui passait. Je suis un sauvage et je ne comprends pas comment ce cheval de fer qui fume peut-être plus important que le bison que nous ne tuons que pour les besoins de notre vie. Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ? Si toutes les bêtes avaient disparu, l’homme mourrait complètement solitaire, car ce qui arrive aux bêtes bientôt arrive à l’homme. Toutes les choses sont reliées entre elles. »
» Vous devez apprendre à vos enfants que la terre sous leurs pieds n’est autre que la cendre de nos ancêtres. Ainsi, ils respecteront la terre. Dites-leur aussi que la terre est riche de la vie de nos proches. Apprenez à vos enfants ce que nous avons appris aux nôtres : que la terre est notre mère et que tout ce qui arrive à la terre arrive aux enfants de la terre.
Si les hommes crachent sur la terre, c’est sur eux-mêmes qu’ils crachent. Ceci nous le savons : la terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre. Ceci nous le savons : toutes les choses sont reliées entre elles comme le sang est le lien entre les membres d’une même famille. Toutes les choses sont reliées entre elles… »
» Mais, pendant que nous périssons, vous allez briller, illuminés par la force de Dieu qui vous a conduits sur cette terre et qui, dans un but spécial, vous a permis de dominer le Peau-Rouge. Cette destinée est mystérieuse pour nous. Nous ne comprenons pas pourquoi les bisons sont tous massacrés, pourquoi les chevaux sauvages sont domestiqués, ni pourquoi les lieux les plus secrets des forêts sont lourds de l’odeur des hommes, ni pourquoi encore la vue des belles collines est gardée par les fils qui parlent.
Que sont devenus les fourrés profonds ? Ils ont disparu. Qu’est devenu le grand aigle ? Il a disparu aussi. C’est la fin de la vie et le commencement de la survivance. »
(je me permet de te coller ce billet que j’avais mis sur mon blog)
Bonjour Marie ,
D’ Anciennes et Sages Paroles
Celles ci valent de l’Hors
Des Songes Prémonitions,
Pour un Monde qui s’étiole,
A défaire la Trame, D’une Dame d’étoffes
Tissant Rêves et Saisons.
Par les Liens du Dehors.
On Parle ici d’un Cycle Long.
D’un Vrai Besoin , Face aux Devers
D’une Mort du Lien, Celui à Mère.
Et qu’en est t’il de la Passion
D’un coeur qui bat, par souffle d’Hors
Lentement il se Meurt , aux Déclins des Nations
Celles d’Anciens , qui savaient dans les Songes.
Que le Monde était Change , Bien avant nos Valeurs.
NéO~
Cercle d’etoiles.
Dans le Grand Cercle naquit l’éteint
D’une Terre Ancienne , à l’Ocre Rouge.
D’une Nuit sans Lune ou Rien ne Bouge.
Elle vint sans Ombres,
Née d’une Lumière.
Dans l’Univers elle porte le Monde.
Parmi les Siens , elle porte l’Onde
Chante au Travers, de Songes Racines.
Elle est Le Lien de Toutes Couleurs.
Vivante Matière de l’Arc en Ciel.
Dans la Forêt d’Âmes Boréales ,
l’Esprit survit dans l’Hors Infime.
Relie les Vies , de Terres Australes.
Par la Source Même de l’Origine.
Mène à la Source du Végétal.
Rends l’Homme à Mère ,
Mais son Coeur Digne.
NéO~
le monde était change, bien avant nos valeurs….tant de choses , et tant d’hors, que tu mets dans tes mots, si lucides et si simples à saisir, un univers de liens, tu l’as dit.
….
Des Liens en Tout ,
Et Temps d’Hors Fins ,
A voir envers et par Reflets.
Aux Mains se Nouent ,
Quand on Saisit ,
Le Grain qui Dore en sons Sommeils ,
En Chaque Chemins ,
Les Fils d’une Vie ,
Portent à l’égard un Brin d’Eveil ,
Au Coeur d’Ecrins ,
Que sont les Songes ,
Vivre dans l’Instant suivre sa Pensée ,
Laisser une Onde nous Emporter ,
Et Voir le Monde tel qu’il est ,
En Pleine Conscience : LUCIDITE .
belle Journée Marie.
NéO~
un lien : http://mavoie2958.wordpress.com/2009/11/04/de-la-servitude-moderne/
Si ça te dis, de visionner, à toi de voir, sans obligation, en toutes libertés.
A bientôt par ici ou par là.
J’arrête à présent de saturer ton blog de mes commentaires.
Belle et douce journée à venir.
Oui , je l’ai vu Marie ,
Une Vidéo sans Concessions ,
Chacun en Soi devrait prendre Graine ,
Sur Toutes ces Chaines qu’il faut Porter ,
Qui font d’une Vie un Pâle Reflet ,
Bien loin des Fruits qu’un Arbre Séme ,
Quand il à l’Hors d’une Liberté.
NéO~
Bon début de semaine mon ami Néo
un vrai régal de te lire
ici toujours autant de neige mais je pense dégel mercredi
bisous tendresse
calinous de ma Louve
ton amie martine
Bonjour Océane,
Bienvenue en Songe , Lucidité
Les Terres d’Ici , sont celles d’Hivers
Les Sentiments sont Partagés.
Les Mots s’en Viennent , à même la Terre,
Poser leurs Vers par des Reflets.
A ces Noëls , passés la Haut.
Dans la Forêt , à la Lumière,
Où ceux en Corps et par Cadeaux,
Auprès de Ceux , les Liens d’un Père.
Bon Vent à Toi et belle Année.
Tout mes Voeux t’accompagnent.
Dans Tes Rêves et tes Souhaits.
NéO~
Je te connais si peu
j’essaie de te connaitre
et ce que je connais de toi
pas à pas
me comble et me réconforte
je ne sais même pas
si tu es homme ou femme
détail
sans doute
je sais seulement
que dans tes mots
j’existe
Amicalement
Marie
Bonsoir Marie ,
Entre les Lignes sous Vents je Danse ,
Décrit une Ronde d’un Vers Point de Vue ,
Mon Coeur en Mère mène une Vie Dense ,
A Fleur d’Ecorce j’ai Toujours Sut ,
Qu’au delà des Mots Réside l’Esprit ,
Le Seul à Même de Faire Alliance ,
Contre les Heurts venant en Nuits.
NéO~
Amitié Bleu Marie ,
Lucide est l’Onde à la Lumière.
Si tu veux d’Hors voir mon Reflet ,
Sur l’Haut Chapeau , l’Hôte est Entier.
https://drenagoram4444.wordpress.com/l-homme-au-chapeau/
Belle journée en conscience de chaque instant.
Sois Bien NéO.
Becs d’Unité.
Merci Marie ,
Bien à Toi au Yeux de l’Une ,
Sous le Doux Vert des Liens de Soie ,
Si tu Perçois tout en Chacune ,
L’Essence de Mère dans Chaque Eclat.
~
Un Bleu de Cause étant Fortune ,
Je Veille a l’Hors en l’Haut de Là ,
Ecoute la Ronde en Cor de Brume ,
Une Onde à Fleur , le Chant de Gaïa.
~
NéO~
Becs de Soie (.)
de ma plume me poser ici
sans raisons ni soucis
juste un instant suspendre mon vol
au fil des pensées un instant au sol
puis repartir comme je suis venu
pourtant te laisser un sincère salut
…
😉
Bonjour Loofy ,
Bienvenue en Hors Ami Lucide ,
Rimer Envers pour notre Salut ,
A Fleur d’Eole de faire le Vide ,
Etendre son Vol à Perte de Vue.
~
La Montagne porte cette Avantage ,
On fait vite Fi du Superflu ,
S’accompagnant pour le Voyage ,
Des Reflets Sages dont l’Onde est Mû.
~
Entre les Cimes des Arbres Frères ,
La Lumière va à l’Essentiel .
Le Reste est l’Oeuvre de l’Effet Mère ,
La Vie à Bord est Naturel.
~
Pour quoi dès l’Hors Dénaturer ?
Travestir la Raison d’une Voie ,
Les bonnes Réponses ne peuvent s’acheter ,
Mes Billets Parlent une Langue des Bois.
~
NéO~
~
Bon Vent Hors Frontière ,
Ici la Bise se Fait Glaciaire 😉
« les ressources d’une mère
et l’écho de son chant » …
oui c’est bien là tout ce qui importe
et l’éclat l’éclat de verre
vient s’enfoncer dans nos talons
l’écho l’écho s’éteindre
en lumineuses braise
comme une étoile naine
qui se gonfle et s’effondre
l’heure n’est pas à l’étoile ces temps-ci
je veux redevenir poudre d’espoir
il ne reste qu’une mèche
et bougie vide,
sans l’allumette ni la main pour la chercher
A ce Jour Prunelles 😉
La Flamme ne meurt jamais , elle Demeure entre Nous ,
Dans ce Lien dont le Tout , Vaut de l’Hors en Reflets ,
Le Feu Laisse à Pensée , Mille Lueurs sans le Sou ,
L’Une au Coeur pour le Coup . Est Braise de Vérité .
~
NéO~
~
Becs à Portée de Main
Je reviens par chez toi ce matin, reprend d’anciens liens marqués pour revenir, bien en lien, ma foi sur le billet concernant Vérité ou réel.. concordance.. avec le temps, les illusions s’effacent.. en plus, j’ai visionné la vidéo Notre monde est illusion. Observer dans les détails !
Becs ensoleillés. Néa