~La Mort du Dieu~
La Mort du Dieu « Energie «
« Grandeurs en des Cadences , du Haut des Tours d'Ivoires ....
.... En Vers Jugera l'Histoire , de Cette non Fin d'Essence."
Sommes nous Capable de Concevoir ,
Un Monde à Venir Sans Consumer ?
Brûler le Coeur d’une Mère Morte Née ,
Pour s’affubler du Moindre Avoir .
~
A la Croisée des Mondes Modernes ,
L’Industrie Tourne son Regard ,
Vers des Produits vendus en Chaines ,
Technologies sans bonnes Mémoires.
~
La Connaissance en sauts de Puces ,
Offre en Réseaux plus d’un Milliard ,
Le Dernier Maux en veut bien Plus ,
Sa Seconde Chance Laisse un Trou Noir.
~
Qu’Advientra t’Il sans Energies ,
Plus de Ressources a mettre en Piles ,
La Face Cachée d’un Semblant de Vie ,
Quand l’Onde s’Attache à Vivre sans Fil .
~
Par Extension de la Machine ,
L’Homme obéit aux Lois du Geek ,
Abandonne l’Onde pour Origine ,
Pour une Nature d’Impure Logique .
~
« Chez les Aveugles l’Esprit est Roi ,
Au Bord de l’Abîme marchent les Braves .
Sa Vue d’Ensemble touche du Doigt ,
La Faille Fantôme d’un Monde d’Esclaves. »
Toutes Les Ressources de l’Aurifère , pour Faire Briller quelques Lueurs ,
Sous son Ecorce Mère à grand Coeur , mais ses belles Veines sont épuisées ,
Quand est~il d’une Soif Eprouvée , Avoir sans Cesse et à Tout Heurts ?
Au Fil des Eres l’Onde s’assèche , Neufs Oasis se font plus Rare ,
Le Sang d’une Terre est Bien Précieux , pour le Futur Aurore à Fleur ,
Que restera t’il à nos Enfants , qu’apprendra t’on en Cours d’Histoires ?
Dans un Âge d’Hors voilà le Temps , Plein d’Energie en Âge de Faire ,
Il est Maintenant plus Qu’essentiel , De Résonner par le Bon Sens ,
Produire en Vain c’est Faire Offense , Nul besoin du Superficiel ,
Pour qu’une Saison exsite en Ciel , Chacun demain Compte en Présence .
NéO~
Une pénurie de pétrole se profile pour 2050
Par Hayat Gazzane
05/04/2011 ~ Mise à jour : 09:52
Les champs pétroliers auraient atteint leurs pics de production d’après plusieurs études. Crédits photo : © Bernadett Szabo / Reuters/REUTERS
Un rapport de la HSBC indique qu’il ne reste plus que 49 ans de réserves pétrolières. Comme de nombreux experts, la banque profite de l’actuelle flambée des cours pour tirer la sonnette d’alarme.
Plus les cours du pétrole se rapprochent de leurs records de 2008 et plus les études sur la pénurie prochaine d’énergie fossile fleurissent. La dernière en date a été publiée fin mars par HSBC. La banque britannique, qui s’est projetée en 2050, donne le ton : «Même si la demande n’augmente pas, il ne nous reste au mieux que 49 ans de pétrole». D’après HSBC, plusieurs champs pétroliers ont en effet déjà atteint leur pic de production et entament leur déclin. Karen Ward, auteur de ce rapport, dresse un tableau très noir : «En 2050, la demande mondiale de pétrole augmentera de 110% à 190 millions de barils par jour afin d’alimenter le milliard de voitures qui envahiront les routes alors que les revenus des pays émergents augmenteront», explique-t-elle.
La croissance des pays émergents, principal facteur de la hausse de la demande énergétique, entraînera par ricochet un doublement des taux de Co2 dans l’atmosphère, à un niveau «3,5 fois supérieur aux niveaux recommandés pour garder la température ambiante à un niveau qui n’est pas dangereux pour la santé».
Les États-Unis s’inquiètent pour 2012
La banque rejoint ainsi le cortège des sources dites «solides» qui valident les prévisions avancées depuis plusieurs années par les groupes écologistes. En 2010, alors que les cours du pétrole entamaient leur progression, ces sources ont commencé à se multiplier. Essentiellement aux États-Unis. En mars, Glen Sweetnam, expert du marché pétrolier auprès des équipes du président Barack Obama, parlait d’un déclin «entre 2011 et 2015». Plus tard, en novembre, le Pentagone s’inquiétait, dans sa traditionnelle note destinée aux forces inter-armées, de probables pénuries «sévères» dès 2012. En fin d’année, l’Iran, deuxième producteur de l’Opep, lance également un pavé dans la mare en affirmant que «les marchés internationaux sont proches d’une crise due à une production de pétrole incertaine».
Le débat a encore été alimenté par une note de Wikileaks en début d’année qui révélait que l’Arabie saoudite, premier pays producteur et exportateur de pétrole au monde, n’était plus en mesure d’augmenter ses capacités de production. D’après des câbles publiés par le Guardian , Sadad al-Husseini, ancien dirigeant de l’exploration de la compagnie étatique Aramco, a expliqué à des diplomates américains que son pays n’avait plus assez de réserves exploitables pour supporter le rythme de la hausse de la demande mondiale. Une information qui est venue s’ajouter à l’annonce de la fin des explorations du sous-sol saoudien par les autorité du pays, afin de laisser des réserves en héritage aux générations futures.
La situation est tendue: alors que l’Agence internationale de l’énergie table sur une demande mondiale de 99 millions de barils par jour dès 2035, Sadad al-Husseini affirme que l’Aramco ne pourra plus dépasser sa capacité actuelle d’environ 12 millions de barils par jour.
Un baril cher pour doper les recherches
Dans ce contexte, le verdict de la HSBC est sans appel: «La sécurité énergétique sera la principale préoccupation des gouvernements» dans les années à venir. Et d’ajouter que les «grands perdants» seront «l’Europe, l’Amérique latine et l’Inde d’ici à 2035» en raison de la faible richesse de leur sous-sol. À l’inverse, «l’Australie, la Russie et le Moyen Orient seront les mieux lotis. Plusieurs pays perdront leur place dans le palmarès des puissances mondiales et perdront de leur influence», annonce la banque.
L’étude d’HSBC affirme que le monde a encore la possibilité de se tourner vers le gaz et ses 109 ans de reserves ou encore le charbon qui dispose de 176 ans de réserves mondiales. Mais ces derniers sont «durs à transporter» ou encore «trop polluants». La seule solution serait alors de multiplier les efforts pour améliorer l’efficacité des énergies renouvelables qui elles, «peuvent se multiplier à l’infini».
Comme le note l’analyste, les efforts de recherche restent pourtant encore trop timides en raison du manque de rentabilité du secteur des énergies vertes. «Les États-Unis dépensent 30 milliards de dollars par an dans la recherche sur la santé alors que le secteur de l’énergie ne capte que 5 milliards de dollars de budget», souligne Karen Ward, qui ajoute que ce manque de motivation gouvernementale se retrouve dans la plupart des pays censés mener les recherches à l’échelle mondiale. La hausse actuelle du baril est donc perçue comme bénéfique par la banque. «Il est improbable que de nouveaux gains d’efficacité énergétique et le déploiement de sources d’énergie faiblement carbonées se matérialisent sans une pression à la hausse encore plus forte sur les prix des carburants fossiles», précise le rapport. HSBC estime ainsi qu’un baril à plus de 150 dollars forcera les gouvernements à trouver des alternatives.
http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2011/04/04/04012-20110404ARTFIG00733-une-penurie-de-petrole-se-profile-pour-2050.php
La Chine domine le gaz iranien
AFP
15/04/2011 Mise à jour : 15:36
Les compagnies chinoises, qui se sont largement implantées en Iran en profitant du vide laissé par les compagnies occidentale, dominent la Foire internationale du pétrole, du gaz et de la pétrochimie qui a ouvert ses portes aujourd’hui à Téhéran.
Les compagnies occidentales se sont retirées progressivement du pays ces dernières années à cause des sanctions américaines et européennes interdisant tout investissement dans le secteur énergétique de l’Iran. Ces sanctions ont encore été renforcées en 2010 par une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l’ONU à cause du programme nucléaire controversée de l’Iran.
Présence « symbolique » des groupes occidentaux
« Cette année, 166 compagnies chinoises sont présentes à la foire contre 100 sociétés l’année dernière », a déclaré un responsable du ministère du Pétrole. « Le nombre des sociétés étrangères présentes est en hausse de 35% », a-t-il ajouté, avec 496 compagnies sur un total de 1550.
Malgré les sanction, « l’Allemagne est présente avec 64 sociétés, Italie avec 36, la Grande-Bretagne avec 37, l’Espagne avec 14, la France avec 15 et la Corée du Sud avec 33 sociétés », a-t-il précisé. Mais les grands groupes occidentaux présents, comme le français Total, l’autrichien OMV ou norvégien Statoil, qui se sont retirés du pays, ont participé à la foire mais de manière plutôt « symbolique ».
Que dire? Tes Mots sont de Bons Sens.
Jusqu’à saigner la Terre dans la plus petite de ses veines, l’humain, dans sa folie de l’or noir, jusqu’à tarir la Source, il ira. C’est un Dément!
Bonjour Marie~Ne ,
Entre l’Or Noir et le Coût Vert ,
Le Nucléaire et les Terres Rares ,
Un Monde en Soie Souffre en Matières ,
Le Fruit en Vers n’est point d’Hazard .
~
Temps d’Energies s’écoulent en Vain ,
Depuis qu’un Monde est d’Origine ,
La Source à l’Hors au Long s’indigne ,
Pour Chaque Ressource éveille au Grain .
~
Le Monde dehors touche à sa Faim ,
Saignant les Veines de sa Nature ,
Les Façonneurs n’y prennent pas Soin ,
Ils vont au Loin tout droit dans le Mur.
~
Chacun en Liens à l’Hors éspère ,
Un Neuf Âge d’Hors pour A venir ,
Sans Prendre Conscience en Nage de Faire ,
Les Rives de l’Une s’en vont périr ,
D’une Course mener en Train d’Enfer.
~
NéO~
~
Becs Pleins d’Espoir 😉
Électricité : la France explose les compteurs
Par lefigaro.fr Mis à jour le 07/02/2012 à 20:23 | publié le 07/02/2012 à 19:24

Ce mardi aura été la matinée la plus froide de la semaine. Crédits photo : GERARD JULIEN/AFP
La France a battu ce mardi soir à 19 heures un nouveau record de consommation d’électricité à 100.500 mégawatts, dépassant celui établi une demi-heure plus tôt, à 97.038 mégawatts.
Météo Consult avait prévenu lundi: la matinée de mardi sera la plus froide. Sur les sols couverts de neige, les températures se sont abaissées de -12 à -18°C sur l’Hexagone.
Du coup, la consommation d’électricité s’en est ressentie. La France a enchaîné les records , ce mardi soir: à 18h30, elle s’est établie à 97.038 mégawatts, selon les données diffusées par RTE, dépassant ainsi le précédent sommet atteint le 15 décembre 2010 à 96.710 mégawatts. Puis à 100.500 mégawatts une demi-heure plus tard.
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Gaz : nouveau record de consommation
Avec AFP Mis à jour le 09/02/2012 à 20:06 | publié le 09/02/2012 à 19:23
La consommation électrique s’est maintenue à un niveau très élevé, sans battre le sommet atteint hier, tandis que les cours s’apaisaient à la Bourse européenne de l’électricité, et que la consommation de gaz atteignait un nouveau record.
La consommation électrique nationale a culminé à 99.250 mégawatts, selon les données collectées par RTE, filiale d’EDF qui gère le réseau national de lignes à haute tension. Elle n’a donc pas dépassé le dernier record (101.700 mégawatts) établi mercredi à la même heure, conformément aux prévisions du gestionnaire de réseau.
En revanche, la consommation gazière se maintient à des niveaux records, selon les chiffres publiés gestionnaire de réseau GRTgaz, filiale de GDF Suez. Elle a atteint 3.405 gigawatts-heure pendant la journée de mercredi, dépassant ainsi légèrement les 3.395 GWh comptabilisés mardi. Cette envolée est liée à la hausse de la demande de gaz non seulement pour le chauffage et autres usages industriels et domestiques, mais aussi pour les centrales d’électricité fonctionnant au gaz, qui tournent en ce moment à plein régime pour satisfaire les besoins en courant.
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Une panne d’électricité géante paralyse le nord de l’Inde
30.07.2012 08:22
Les transports ferroviaires ont été paralysés par la panne d’électricité. [Altaf Qadri – Keystone]
Une panne d’électricité affectait lundi le nord de l’Inde, privant de courant plusieurs centaines de millions d’habitants dans neuf Etats, dont celui de New Delhi, ont indiqué les autorités. La cause de la coupure reste indéterminée.
Les autorités tentaient lundi de déceler sur le réseau électrique l’origine de l’immense panne de courant qui touchait le nord de l’Inde, paralysant le métro à New Delhi, les transports ferroviaires, le fonctionnement des hôpitaux et privait les habitations de climatisation. « L’ensemble du réseau électrique du nord s’est effondré à 2h40 lundi matin (21h10 dimanche), a déclaré le directeur général adjoint du centre régional d’approvisionnement électrique, D.K. Jain.
Neuf Etats concernés
Dans un communiqué, le groupe en charge du réseau électrique du nord de l’Inde, Power System Operation Corp. (PSOC), a indiqué que « la totalité de la région nord », où vivent 28% de la population de 1,2 milliard d’habitants, avait été affectée. Les neufs Etats concernés sont New Delhi, le Pendjab, l’Haryana, l’Uttar Pradesh, l’Himachal Pradesh, le Rajasthan, le Jammu-et-Cachemire, l’Uttaranchal et le Madhya Pradesh.
Selon des informations de presse, il s’agirait d’un problème survenu dans un Etat qui aurait entraîné des ruptures d’approvisionnement en cascade.
A New Delhi, le métro n’a pu reprendre qu’à 07h00 lundi matin mais il ne fonctionnait qu’à 25% de ses capacités. « Nous espérons un retour à la normale d’ici plusieurs heures », a simplement commenté un porte-parole, Anuj Dayal. Les feux de signalisation étaient aussi coupés dans la capitale indienne, rendant le trafic hautement chaotique aux premières heures.
Températures élevées
Dans de nombreux endroits, l’absence de courant a aussi affecté l’approvisionnement en eau, les pompes à eau situées sur les toits des immeubles fonctionnant à l’électricité.
Les températures étaient de l’ordre de 34 à 36 degrés lundi dans le nord de l’Inde. « Notre priorité est de restaurer le courant. L’analyse de la panne sera faite plus tard. Nous nous servons sur le réseau électrique de l’est et de l’ouest du pays », a déclaré à l’AFP le chef du PSOC, S.K. Soonee.
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La moitié de l’Inde sans courant
AFP Mis à jour le 31/07/2012 à 11:39 | publié le 31/07/2012 à 11:37
Le réseau électrique desservant le nord-est de l’Inde s’est à son tour effondré aujourd’hui, a indiqué un responsable, après les pannes des réseaux du nord et de l’est du pays qui privent désormais de courant plus de 600 millions d’habitants dans une vingtaine d’Etats.
« Les réseaux du nord, du nord-est et de l’est sont à terre mais nous travaillons à les restaurer rapidement », a déclaré à l’AFP Naresh Kumar, un porte-parole du réseau électrique national, Powergrid Corporation of India.
A New Delhi, le métro était immobilisé et les feux de signalisation coupés.
« Les conducteurs ont reçu l’ordre de s’arrêter dans les stations de métro. Aucun passager ne sera autorisé à entrer dans les stations jusqu’à ce que le courant revienne », a déclaré à l’AFP un porte-parole du métro de la capitale indienne.
La majeure partie du Bengale occidental (est) et Calcutta, capitale de cet Etat, étaient également victimes de l’effondrement du réseau électrique, a indiqué à l’AFP B. Mukherjee, un responsable au sein du fournisseur local d’électricité, West Bengal State Electricity Supply.
« Effondrement total »
« C’est une grosse crise. Nous travaillons à restaurer l’électricité. De nombreux Etats ont exagéré leurs capacités et cela a entraîné un effondrement total dans le nord et l’est de l’Inde », a commenté un haut responsable du ministère de l’Energie à New Delhi.
Lundi, le nord de l’Inde, où vivent 300 millions d’habitants, a été plongé dans le chaos après une panne géante d’électricité, la pire en Inde depuis onze ans.
L’ensemble du réseau électrique du nord du pays s’est effondré peu après 02H00 dans la nuit de dimanche à lundi (20H30 GMT dimanche) et n’a pu être rétabli partiellement que six heures plus tard.
Cette panne a perturbé la circulation d’environ 300 trains dans toute la région, le métro à New Delhi et bloqué les feux de signalisation dans les grandes villes, provoquant d’innombrables embouteillages à l’heure de pointe matinale.
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Visite virtuelle des entrailles de Google
EN IMAGES – Le géant de l’Internet dévoile pour la première fois des photos de ses centres de données en Europe et aux États-Unis. Ces lieux gardés secret et placés sous haute surveillance très énergivores servent à stocker la plupart des données en ligne.
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Panne d’électricité à Ouessant
AFP Publié le 13/01/2013 à 17:44
Le week-end a été perturbé sur l’île d’Ouessant par une panne générale d’électricité, les quatre groupes de la centrale électrique à fioul se révélant hors d’usage, et une trentaine de foyers étaient toujours privés de courant en fin d’après-midi, a-t-on appris auprès d’ERDF.
« Il s’agit surtout de résidences secondaires, et ces foyers seront réalimentés dimanche soir », a indiqué Joël Roué, chef d’agence ERDF à Brest. Alors que deux des quatre groupes de la centrale à fioul étaient hors service et qu’un troisième était en maintenance, le dernier groupe a été victime d’un début d’incendie samedi midi.
L’île, qui compte environ 850 habitants en hiver, a été ainsi entièrement privée d’électricité, la coupure privant aussi d’eau une partie de l’île et perturbant les liaisons téléphoniques. Les deux phares ont aussitôt basculé sur leurs groupes électrogènes, ainsi que la maison de retraite.
Des techniciens d’ERDF ont été acheminés par hélicoptère et la remise en service d’un groupe a permis de réalimenter la plupart des foyers samedi en soirée.
Dimanche matin, 17 groupes électrogènes ont été acheminés sur l’île pour réalimenter une partie des transformateurs.
« Il y a eu une forte mobilisation sur l’île, les techniciens de la centrale, les pompiers, les transporteurs, la compagnie maritime Penn ar Bed, et la population qui n’a pas paniqué », a indiqué à l’AFP Denis Palluel, maire de Ouessant. « C’est la première fois que l’île est touchée par une telle panne, il faudra en tirer les leçons », a ajouté le maire.
Ouessant, qui n’est pas raccordée au continent, est alimentée par une centrale au fioul, mais un projet d’hydrolienne devrait permettre à l’île de diversifier son alimentation en énergie. Un prototype conçu par l’entreprise quimpéroise Sabella doit être immergé durant l’été dans le Fromveur, une zone de forts courants située entre Ouessant et Molène.
« On est à fond pour ce projet d’énergie propre, au lieu de dépendre du fioul, on souhaite une véritable autonomie énergétique pour Ouessant », a précisé M. Palluel, qui toutefois ne souhaite pas lier ce projet à l’incident de ce week end. « Tout peut tomber en panne, un câble, une éolienne, une centrale, une hydrolienne ».
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