~En for & au fond, écho d’hors dragons ~
1 janvier 2014 § 175 Commentaires
L’an neuf guidant ma plume , c’est veuf d’une âme de fond ,
qu’aux flammes de blanche saison , résonne la corne de brume ,
là haut les vents m’allume , « quant est-il d’Hors dragons ? »
force est d’entendre le son , l’écho lui s’y consume.
~
l’Esprit livre en lumière , sa toute primaire bataille ,
matière est elle de taille ? pour l’âge du savoir faire ,
au vu d’un porte sphère , chevauchant grises écailles ,
Léman scelle en la maille , son étincelle solaire.
~
Capitaine de ma Tour & Seigneur de son Âme ,
l’Hiver ma foi s’entame , ô chant du troubadour ,
sans l’or blanc pour velours , où sang lui verse une larme ,
à l’aune de veillées d’armes , d’ascensions au long cours.
~
Déjà s’allongent les jours , s’illumine l’Oriflamme ,
le ciel est tel ma dame , reflétant l’ombre d’amours ,
l’eau bleue & lac d’atours , se mirent en moi deux trames ,
au souvenir de ses charmes , estocade ou bravoure ?
~
Le vague des alentours , est choix des quatre vents ,
je fais vœux à présent , de ne plus ramer sourd ,
certain d’être hors concours , au cœur des éléments ,
s’éloignent en soi misant , dévoilant brise à jour.
~
De cette balade au clair , entre pierres et belle rade ,
ces mots sont pour l’aubade , remerciements s’insèrent .
A vous nobles éphémères , le sieur va sans pommades ,
dédier là sa tirade , dans le sillage d’hier.
~
~
En cet instant charnière , juste à cheval sur l’An ,
l’Onde plie nos océans , relie l’Arbre univers ,
l’Œil aux aguets d’éthers , dévoile au firmament ,
comment son âme d’enfant , sert d’ancrage à la Mère.
~
Aux nuits d’étoile polaire , en ce soleil couchant ,
ma lyre prendra le temps , d’aller vous jouer un air ,
Légendaires des sept mers , cette lune aux cerfs~volants ,
avance d’un pas de géant , l’Heure mue par la Lumière.
~
NéO~
~3 cernes d’hors, ornent le 4 lanterne~
6 octobre 2013 § 212 Commentaires
~
A vous et vôtre gouverne , errant las sur la ronde ,
« cessez donc une seconde , d’avoir l’esprit en berne, »
l’été s’éteint au terme , d’un renouveau de la fronde ,
en soie l’espoir abonde , « ô mât de ma lanterne. »
~
Voilà trois ans déjà , cet espace hors du temps .
aux yeux de mon vivant , contait l’or de mes pas ,
ma trame trouvant sa voix , à suivre naturellement ,
dame Rose des quatre vents , illuminant l’au delà .
~
Cette vie m’offrant au choix , la toute puissance des songes ,
ou bien jeter l’éponge , face à tous chemins de croix ,
loin d’ignorer leurs lois , ceint de l’essence je plonge ,
ternes & neufs sangs la ronge , Mère source meurt aux abois.
~
Ce sacrifice au mieux , portera ses fruits plus tard ,
du moins à mon regard , s’éclairent par foi les cieux ,
laissant aux noms des dieux , un fil d’ancienne mémoire ,
œuvrant de par son art , à unifier mille lieux.
~
En la béance des failles , la toile du multivers ,
regorge de légendaires , n’ayant point l’âme de taille ,
le Diable suit en détails , ma bataille hors lumières ,
se nouent en liens divers , le Graal d’autres semailles….
~
NéO~
~Juste 1 Seconde , Entre 2 Mondes~
29 mars 2013 § 150 Commentaires
~
A fleur de l’éclaircie , au cœur du pâturage ,
L’étoile semble rendre au mage , une branche de sa magie ,
Hors la vie lui sourit , quand l’onde dans son sillage ,
Inonde de verts passages , un brin de mélancolie.
~
L‘Hiver dans ses tons gris , laisse les teintes du vivant ,
Filer vers le Printemps , rêvant de champs fleuris ,
Déjà l’hors blanc s’enfuit , le long des vallons francs ,
Le val dore son géant , aux flancs mille fois meurtris .
~
J‘y viens nouer le Lien , ma main posée envers ,
Mon âme prête au transfert , s’évertue pour le Bien ,
Face aux siècles de l’Ancien , ma muse en jeune première ,
Ecoute ses mots charnières , chantant ce vieux refrain .
~
« Ce Monde est sur le seuil , Ta chance au fil du jour ,
La nuit entre deux tours , voit la Ronde faire son deuil ,
Voilà le Temps des Feuilles , Ouvre l’œil troubadour ,
Ta lyre en libre cours , lit ses Lignes en recueils . »
~
Puiser en Hors cette Force , demande en parallèles ,
D’être Ancré au réel , à fleur du chêne à bosses ,
A même Au delà de l’écorce , d’entendre l’universelle ,
Son Chant soigne les séquelles . des êtres de sèves & d’Os .
~
Au pied de l’arbre des noces , juste après la passerelle ,
Ce val garde la part belle , inscrite dans l’âme des gosses ,
Sans tambours ni carrosses , l’Une œuvre pour l’essentiel ,
Unir en terre & ciel , nos racines à l’écorce .
~
Seconde offre en Miroir , un autre regard au vent ,
Celui des éléments , n’ayant rien d’un Hasard ,
D’ailleurs reste un savoir , une fois l’esprit au banc ,
Révélant l’enchantement , enfouit dans notre mémoire .
~
Son fruit demeure un phare , éclairant simplement ,
Les pas du cheminant , errant dans ses couloirs ,
Le virtuel pour un quart , devenant complément ,
Accompagne le vivant , mais jamais n’accapare .
~
Promenant mon Avatar , en ce jour de Printemps ,
L’équinoxe marque mes ans , d’un éveil sur le Tard ,
Ce lieu chargé d’histoires , m’invite au recueillement ,
Mon Qi se ressourçant , d’énergies vibratoires .
~
Sous la voûte mes amarres , perçoivent cet océan ,
Dont l’Univers si grand , sert les vestiges d’un art ,
Créant au chevet du noir , une toile de cheveux blancs ,
Où l’Âge est grisonnant , l’étincelle cerne les Moires .
~
Ma mue s’achève lentement , pour une année Lumière ,
Les signes sont légendaires , au dehors de l’écran ,
Couvrant naturellement , mes heures passées Hier ,
Dans le sillage de tiers , dont j’aime le raisonnement .
~
Je reviens tout doucement , comme citoyen de l’Onde ,
Faire le Lien entre Mondes , au gré des affluents ,
Ma vision va de l’avant , Hors dame nature nous sonde ,
Là où le cœur abonde , Uni vers est l’aimant .
~
NéO~
~Rose & Vaillant, le Cinquième Elément~
21 décembre 2012 § 185 Commentaires
Le Temps se Joue des Tours , Comme la Nuit des Amants ,
Depuis l’île Hurle aux Vents : » Osez en Libre Cours » ,
Vivez Enfin le Jour , Cessez d’Être Deux Enfants ,
Assez Versé de Sang , l’Anneau a Soif d’Amour .
~
Vaillant sécha ses Larmes , sur le Tombeau de Rose ,
Quand Importe la Cause , l’Hiver décor le Drame ,
L’Automne y perd son Charme , Ses Cheveux Blancs Reposent ,
Après Métamorphoses , A Fleur d’un Matin Calme .
~
Pour en Dénouer la Trame , le Deuil est Salutaire ,
Dans le Sillage d’Hier , sur les Pas de la Dame ,
L’Homme irait Chercher l’Âme , au Cercle de l’Enfer ,
Trouvant en Âge de Faire , La Clef Valant Sésame .
~
Se Battre pour la Lumière , Demande à l’Hors Alliance , Au Delà d’une Quête de Sens , l’Esprit doit Savoir Faire , Le Vide Auprès de Mère , Faire Terre tout ses Silences , Nul n’a de Seconde Chance , sans Espoirs Éphémères . ~ La Mort depuis Longtemps , Rôdait d’Ombres sur ces Terres , Je ne puis t’aimer Entière , sans me connaître Vraiment , Qui est Tu mon Enfant ? Pourquoi Donc ses Mystères ? A Poursuivre des Chimères , Tu Perds l’Hors de Ton Temps . ~ Pour Entrevoir l’Envers , l’œil se doit d’être Perçant , Sans Faire Don de son Sang , Nul ne Revient de l’Enfer , Hors Rose était aux Fers , sa Cellule un Néant , En Absence d’Éléments , Le Vœu Reste Arbitraire . ~ Sur le Seuil de sa Pierre , Le Philosophe Errant , Sans Rentrer dans le Rang , Mène sa Quête Aurifère , L’Espace Demeure Ouvert , Mais Pour Combien de Temps ? La Porte du Questionnement , s’Ouvre en Epoque Charnière . ~ Que Veux Tu Légendaire ? La Mère ou bien l’Enfant ? Quand l’Âme Souffre le Tourment , l’Esprit à Vif est Nerf , Dès l’Hors Comme à la Guerre , Les Clairs en un Mouvement , Abrègent Naturellement , Par l’Envoi du Tonnerre . ~ « Ton Nom est Lucifer , Prince des Ambivalents , Le Mien étant Vaillant , Au Chœur de l’Univers , Souviens Toi de Vesper , l’Astre au Soleil Couchant , Prends Mon Âme sur le Champ , En Mars mon Sang Libère « ~ Le Vil n’est point Lumière , l’Ancienne l’a Fait Mordant , Sa Lame sans Enchantement , Traverse Lentement ma Chère , Les Maux se Font Plus Clairs , Sa Mue Suit le Serpent , D’Abord l’Environnement , Ensuite l’Essence de l’Air . ~ L‘Île m’éloigne du Désert , Mon Choix les Jours Suivants , Par Foi & Librement , Voit s’approcher l’Hiver , Deux Fleurs à la Lumière , Au Pied de la Tour d’Argent , S’épanouissent Vaillamment , Conscientes de l’Éphémère . ~
Au Delà Songe le Roi Cerf , Dans les Bois du Levant , Son Enfant d’Hors Maintenant , Rêve Auprès de sa Rivière , Court Une Voie Solitaire , En Quête d’un Vert Printemps , Sa Langue Naît Étrangère , Aux Yeux des Malvoyants . ~ NéO~
Se Battre pour la Lumière , Demande à l’Hors Alliance , Au Delà d’une Quête de Sens , l’Esprit doit Savoir Faire , Le Vide Auprès de Mère , Faire Terre tout ses Silences , Nul n’a de Seconde Chance , sans Espoirs Éphémères . ~ La Mort depuis Longtemps , Rôdait d’Ombres sur ces Terres , Je ne puis t’aimer Entière , sans me connaître Vraiment , Qui est Tu mon Enfant ? Pourquoi Donc ses Mystères ? A Poursuivre des Chimères , Tu Perds l’Hors de Ton Temps . ~ Pour Entrevoir l’Envers , l’œil se doit d’être Perçant , Sans Faire Don de son Sang , Nul ne Revient de l’Enfer , Hors Rose était aux Fers , sa Cellule un Néant , En Absence d’Éléments , Le Vœu Reste Arbitraire . ~ Sur le Seuil de sa Pierre , Le Philosophe Errant , Sans Rentrer dans le Rang , Mène sa Quête Aurifère , L’Espace Demeure Ouvert , Mais Pour Combien de Temps ? La Porte du Questionnement , s’Ouvre en Epoque Charnière . ~ Que Veux Tu Légendaire ? La Mère ou bien l’Enfant ? Quand l’Âme Souffre le Tourment , l’Esprit à Vif est Nerf , Dès l’Hors Comme à la Guerre , Les Clairs en un Mouvement , Abrègent Naturellement , Par l’Envoi du Tonnerre . ~ « Ton Nom est Lucifer , Prince des Ambivalents , Le Mien étant Vaillant , Au Chœur de l’Univers , Souviens Toi de Vesper , l’Astre au Soleil Couchant , Prends Mon Âme sur le Champ , En Mars mon Sang Libère « ~ Le Vil n’est point Lumière , l’Ancienne l’a Fait Mordant , Sa Lame sans Enchantement , Traverse Lentement ma Chère , Les Maux se Font Plus Clairs , Sa Mue Suit le Serpent , D’Abord l’Environnement , Ensuite l’Essence de l’Air . ~ L‘Île m’éloigne du Désert , Mon Choix les Jours Suivants , Par Foi & Librement , Voit s’approcher l’Hiver , Deux Fleurs à la Lumière , Au Pied de la Tour d’Argent , S’épanouissent Vaillamment , Conscientes de l’Éphémère . ~
Au Delà Songe le Roi Cerf , Dans les Bois du Levant , Son Enfant d’Hors Maintenant , Rêve Auprès de sa Rivière , Court Une Voie Solitaire , En Quête d’un Vert Printemps , Sa Langue Naît Étrangère , Aux Yeux des Malvoyants . ~ NéO~
~Mue d’Automne,l’Une vue Hors Norme~
4 novembre 2012 § 184 Commentaires
~
Hors Saison d’Hier .
Au Cœur Même de l’Arche ,
Le vent Joue avec les Feuilles.
~
Cette Lumière du Jour .
Le Vivant en Marche ,
Trois Sentinelles ouvrent l’Oeil.
~
L‘Astre est au Zénith .
Bois Flottés , Pont d’Hors ,
l’Echo d’une Âme sur le Seuil.
~
Souffle de Saison ,
Mouvements de l’Onde,
le Courant emporte son Deuil .
~
L‘Eté sent la Mort .
Tapis Rouge de Rigueur ,
La Forêt pleure son Cercueil .
~
La Fraîcheur du Temps .
A Gorges Déployées ,
L’eau se Faufile sans Ecueils .
~
Belles Lueurs d’Automne.
Pied au Paradis ,
Sœur , Grand Merci pour l’Accueil.
~
Hors , Entre deux Mondes .
Champignons à Foison ,
Juste un Palier vers Là Haut .
~
Nuages d’Horizon ,
Sillage d’Alchimie .
Reflets sans Paroles vous Tous.
~
L‘Oreille des Géants ,
L’Eveil n’attend Pas .
Sa Nature , Notre Libre Cours .
~
Et la Lumière Fut ,
Vision Ephémère .
Diamant Vert , Fleur du Silence.
~
Seconde Chance en Terres ,
Naître au Son du Cor.
« Entends Battre le Coeur de l’Une. »
~
Pas un Bruit aux Tours ,
Etrange ce Sentiment .
Qui d’Autre en Flore , Est~ce Toi ?
~
Octobre est Bien Las ,
En Mesure Toujours .
L’Une d’Hors nous Tend ses Bras.
~
Dernier Quart Diurne ,
Le Poisson Ronde .
Retour en Source Mère.
~
Sa Présence à l’Hors ,
Moindre Signe de Vie .
Comme un Faisceau d’Evidence .
~
Crépuscule du Monde .
Ci~gît le Dragon ,
L’Esprit Songe à l’Âge d’Hors .
~
Île était une Foi ,
Demeure de Saisons .
« Bon Vent à Vous Légendaires. »
~
NéO~
~Un Jour au Seuil, l’Oeil aux Deux Tours~
4 juin 2012 § 226 Commentaires
~
La Dame du Lac en Corps , Dormait au Coeur de l’Onde ,
Quand au Bord de son Monde , Après un Temps d’Efforts ,
Mes Pas Trouvèrent l’Abord , Couvert d’une Flore Profonde ,
L’Echo Loin à la Ronde , Résonnait de Tant d’Hors .
~
Sans une Voix de Stentor , l’Une effleurait l’Esprit ,
« Regarde bien Sept Vies , Souviens Toi en Ton For «
Déjà~Vus sont d’Accords , En Regards de Magie ,
La Règle de Troie nous dit , l’Apparence compte en Sort .
~
Là Haut veillaient Deux Tours , Pivots d’un Autre Temps ,
Entre~Axe de Grands Changements , comme la Nuit a son Jour ,
Dans le Silence Autour , la Vie est Là Pourtant ,
Merveille en Eléments , Précieuse en Libre Cours .
~
Sur le Seuil Même des Marches , Retour au Premier Plan ,
L’Eté au Quatre Vents , viendra pour l’Hôte en Arche ,
Suivre les Patriarches , en cette Fin de Printemps .
Une Saison faite d’Hors Blanc , d’Ornements & Panaches .
~
Ici la Pierre Murmure , la Roche est Souveraine ,
Aux Légendes Anciennes , se Mêlent des Airs d’Arthur ,
L’Empreinte a la Facture , d’Une Lame dans son Arène ,
N’est ce pas Tranchant la Veine , le Fil d’Excalibur ?
~
Face au Gris de l’Azur , Pour ces Statues Gardiennes ,
Les Couleurs sont en Chaînes , des Maillons de la Nature ,
Chacune donne en Sculptures , sa Nuance Pérenne ,
Le Savoir mis en Scène , Forge une Soif de Culture .
~
A Fleur des Contreforts , le Vivant Ouvre les Yeux ,
Nul Besoin de Sept Cieux , pour voir Deux Chamois d’Hors ,
Clin d’Oeil en Métaphore , Nos Âges sont Délicieux ,
Sans un Caprice des Dieux , Vivons Avant la Mort .
~
Au Col je dis « Chapeau » , la Vue vaut le Détour ,
Il Faudrait être Sourd , Perdre le Fil de ses Mots ,
Pour ne Point Voir en Flots , les Forces Tour à Tour ,
Agissant par Amour , Pour Sculpter ce Tableau .
~
Les Toiles de Mère sur Terre , Sont un Si Reflété ,
Des Oeuvres Inachevées , Donnant le La d’Hier ,
Toutes ces Belles Ephémères , Songent à l’Eternité ,
Sans voir le Temps Passé , Hors de Portée d’un Tiers .
~
Dans ses Vestiges d’Hiver , la Belle est Couronnée ,
Sa Bonne Etoile est Née , l’Hors d’une Année Lumière ,
Sans être Miss Univers , Elle en Demeure l’Aînée ,
Conservant son Trophée , en un Divin Sanctuaire .
~
Sur ses Pentes Aurifères , chaque Rencontre est Salué ,
Accueillant l’Etranger , en Cet Eden si Vert ,
Quatre ont l’Oeil Grand Ouvert , semblant s’interroger ,
Pourquoi suivre le Sentier , Quand l’Hors Piste mène à Mère ?
~
Le Coeur à la Croisée , Voudrait Croiser le faire ,
Décréter de Manière , Quand le Corps laisse Hâler ,
Sans Tomber dans le Verset , Se relevant des Ornières ,
L’Esprit voit sans Oeillères , par Où il faut Passer .
~
La Tension est sans Failles , les Notes de l’Une Légère ,
L’Âme Oeuvre en Atmosphère , Dans les Moindres Détails ,
A ne Livrer Batailles , qu’en Strict Nécessaire ,
Pour ces Instants Hors Pairs , Jamais Bonheur Défaille .
~
A la Mémoire Vivante , Posant ces Ailes Ici ,
Ma Plume en Hors Dédie , ses Lignes Non~Savantes ,
Par Foi la Femme Enchante , sans Divine Comédie ,
Les Flammes du Paradis , Encerclent l’Enfer de Dante .
~
NéO~
~
~Rose & Vaillant , Ô Amants du Vivant~
4 Mai 2012 § 450 Commentaires
Rose Acte IV
En Trois Actes Antérieur , se Joue Mémoire de Rose ,
Vaillant défend sa Cause , Avec l’élan du Cœur ,
Sa Seconde Chance se Meurt , d’un Lent Poison Morose ,
Colère à petites Doses , Rongea l’Hors Intérieur.
~
Toutes les Femmes sont nées Fleurs , Au Regard de Vaillant ,
Un Esprit Bienveillant , Leurs a donner Couleurs ,
Depuis le Monde est Leurres , Hors Combien Restent au Chant ?
Par Foi Naturellement , En connaissances d’Ailleurs.
~
~
Rose a dans la Douleur , Vécu nombres de Tourments ,
Sans Lumières Sentiments , ni un Gramme de Douceur ,
Ses Chênes étaient Noirceurs , Nul Amour l’entourant ,
Point de Jour pour l’Enfant , Juste de Sombres Lueurs.
~
~
Au Loin l’Astre Brillait , Par l’Absence de ses Feux ,
Phare Matin Silencieux , Clairs Prémices de l’Été ,
Pas une Note déchirait , le Voile d’Hors en ces Lieux ,
Vaillant Plongea ses Yeux , Vers sa Morte Bien Aimée.
~
~
Brin de Flore à Pleurer , son Vœu lui était Chaire ,
Rose parlait d’une Lumière , Au Delà de l’Orée ,
Voulant Voir ces Reflets , Après bien d’âpres Guerres ,
l’Homme Irait en Enfer , Chercher l’Âme Esseulé .
~
~
Sa Conscience toute Entière , Prenait Acte des Méfaits ,
A Vouloir aux Arrêts , son Épée mettre aux Fers ,
Sang & Larmes Coulèrent , sans même tirer un Trait ,
Sur Une Histoire si Vrai , entre Deux Solitaires.
~
~
Aux Regrets nés d’hiers , sa Peine Forgea l’Anneau ,
Graver au Cœur des Maux , par des Forces Pérenne ,
Dans l’Écorce Souterraine , Sa Reine suivait son Flot ,
Vaillant Trouva les Mots , Inscrits à Fleur du Chêne.
~
~
L‘Une & l’Hôte au long s’aime , d’un Amour Hors du Temps ,
L’Arbre est notre Témoin , Si son Souffle s’égrène ,
Portez vers la Gardienne , Quatre Graines d’Éléments ,
« Ô Amants du Vivant , Gardez la Flamme Mienne. »
~
~
Comment Livrer dès l’Hors , Bataille contre les Dieux ?
Quand le Corps se fait Vieux , Le Cœur bat bien plus Fort .
La Vie demande Efforts , La Mort nous donne au Mieux ,
Ses Ténèbres pour Jeux , sans le Moindre Réconfort.
~
~
L’Ancienne vivait au Seuil , Son Œil Torve en Bandeau ,
Mit mon Charme en Lambeaux , Nul n’abuse de son Deuil ,
A Ciseau Pierre & Feuille , Elle gagna son Fardeau ,
Portant bas sur son Dos , nos Vieilles Ruses en Recueils.
~
~
Etranger sur ses Terres , écrivant mon Destin ,
Toutes les Lignes de ma Main , Voulaient en Neuf bien Faire .
Dénouer la Trame Mortuaire , Verte Opale en Jardin ,
C’est connaître pour toute Faim , Rien d’envies éphémères.
~
~
La Faux n’est jamais Loin , elle nous Souffle sur l’épaule ,
Distribue les Beaux Rôles , par des Mots Assassins .
En Mémoire du Parfum , d’une Fleur Née d’Eole ,
Le Guerrier s’auréole , de Combattre comme Saint.
~
~
Dans cette pièce Millénaire , chaque Acte prend la Parole ,
S’opposent par Paraboles , l’Avis d’autres Univers ,
Combien sont Nécessaires ? pour donner par Symboles ,
L’Onde d’Amour si frivole , quand le Chœur n’est sincère.
~
~
Près du Vieil Arbre Blanc , Reposent Fleurs & Guerriers ,
Quand le Chêne est Cerné , Rose Discerne l’Hors du Temps ,
Dame Nature Noue Amants , Par le Fil des Années ,
L’ Anneau Entrelacé , Autour d’Âmes du Vivant .
NéO~
~En Surface, du Blanc Dragon de Glace~
18 février 2012 § 153 Commentaires
Une Foi n’est pas Coutume , au Crépuscule de l’Onde ,
Là où les Songes Abondent , dans cet écrin de l’Une ,
Pour un vœu de fortune , source de rêves en ce monde ,
Venez d’hors à la Ronde , vers le Vallon des Brumes.
~
Sur le Manteau de Mère , Dame Rivière suit sa Trace ,
Le Blanc Dragon de Glace , Sage Ancien d’Univers ,
Se repose en eaux claires , grondant de sa voix basse ,
«Bienvenue Pauvre Hère , d’Audace en ma Tanière.»
~
Sa Présence Légendaire , aux Courants de l’Année ,
Loin du cercle est contée , hors du cycle des mystères ,
Au grand cœur de l’hiver , quand le souffle est damné ,
Son corps vient se forger , en des anneaux Lumières.
~
Près des hêtres séculaires , sous les feuilles vermillons ,
Ses écailles Cristallines ,Crissent le long de la Roche ,
Tout son Être s’enterre , Hiverne en Lames de Fond ,
Creusant Voûte Divine , Aux Saisons en Approche.
~
Par le biais d’hémisphères , parcourant d’Ondes pensées ,
L’étranger va Renouer , son Ancrage à la Terre ,
Le Dragon sans Repaire , Veille là juste à Portée ,
Il me Faut l’aborder , De pas sages sans Œillères.
~
L‘âme des Cinq éléments , Brille en Flore de Reflet ,
Flèche ce terrain d’Orée , Arque les couleurs d’Antan ,
C’est la Marque de Vaillant , Son Cœur bat par Attraits ,
Pour toutes formes d’effets , Aux Frontières du Vivant.
~
Sa Dorsale en Triades , apparaît au Contour ,
Du Haut d’un Libre Cours , en suivant l’Enfilade ,
Je repense aux bravades , Quatre énigmes de l’atour ,
Une question offre toujours , des réponses en cascades.
~
Hors les Murs l’escalade , se poursuit par Paliers ,
Loin des Couloirs dorés , vers des Murailles de Jades ,
Dans un Luxe de Détails , Crocs et Griffes Effilés ,
Pour une étreinte gelée , Enserrent l’Une en Sérail .
~
Aux Couleurs de l’Émail , la Livrée Héraldique ,
Sa Maison Fantastique , Plaines en Chants de Bataille ,
Pour le Barde sans Ouailles , aux Paroles Lyriques ,
Blason Emblématique , en Nuances de Vitrail.
~
Le Jeu d’Ombres en Molasse , forme des Glyphes Aurifères ,
Mille Signaux éphémères , Couvrent la Chute des Glaces ,
Hors Traitement de Surface , Dans ce Palais Lumière ,
L’Esprit Trouve en Matière , un Louvre d’Autres Faces.
~
Sur la Crête d’Échine , sa Peau glisse sans arêtes ,
En Surface se Reflètent , d’Arabesques entre lignes ,
Près du Cœur de son Antre ,il vaut mieux se connaître ,
Laisser parler son Être , la Voie d’hors en est Chantre.
~
Ses petit rien d’Autrui , ombres gardiennes anges gardiens ,
Par Myriades de Liens , sur les Toiles de nos Vies ,
Laissent des Signes par si , empreintent nos propre chemin
Dans leurs Pas , Chaque Matin , Marche le Peuple Fourmi.
~
Hors du Dragon d’éther , l’Astre s’estompe lentement ,
Imprimant aux Mouvements , sa Danse élémentaire ,
En Hommage à Gaïa , Loin du Chaos des Failles ,
L’œil saisit ses Détails , en Attente d’Héméra .
~
Au Cœur de l’Alchimie , la Magie Dore les Rives ,
Eclaire Préface des Pierres ,Colore les Veines d’Avant ,
Cinq couleurs sont tamis , pour une longue marche à suivre ,
Ocre et Bleu sont Repères , Vert et Blanc Hors du Temps.
~
Sa Rencontre en ces Lieux , dans le Berceau du Vent ,
Offre un pur Enchantement , haut présent merveilleux ,
Instant d’hors à mes Yeux , tant ses traits sont Seyant ,
Ciselés d’Arcs Boutants , Par l’Orfèvre des Dieux.
~
Chacun Croise son Totem , au Fil des Jours et Nuits ,
Il en est d’Infini , En Variables de Thèmes ,
La plupart d’entre eux sèment , plusieurs graines pour un Fruit ,
Leurs Valeurs de Jadis , Coulent au Creux de nos Veines.
~
Près de l’Œil du Dragon , l’Esprit Ouvre ses cinq cens ,
Laisse Entrer sa Prescience , Sans Aucune Illusions ,
Ecarte toute Confusion , Ce Seigneur Porte l’Alliance ,
L’espoir d’une Renaissance , dans chacun des Sillons.
~
Son Regard sans Affronts ,ne perçoit nulle Offense ,
A l’un Tentant sa Chance , ayant toute sa Raison ,
Il Confirme sa Vision , Donnant Corps et Substances ,
Pour Tant de Persévérance , Un Brin de Révélation.
~
Nous ne sommes que du sable , dans le lit de la Rivière ,
La Créature des Cieux , aux échos d’Origine ,
En Miroir Vénérable , Veille au grain des Poussières ,
Son Aveu Silencieux ,Vient du Fait de nos Racines.
~
L‘astre Brûle de ses Flammes , la Carcasse du Dragon ,
Sous le Feu des Rayons , La Glace perd de son Charme ,
Pour sa longue veillée d’arme , dans l’eau bleue du vallon ,
L’Onde Murmure son Nom , Pendragon verse Larmes .
~
NéO~
~En Hors Saison , Brumes d’un Vallon~
1 avril 2011 § 398 Commentaires
Dès les Premières Lueurs de l’Aube , l’haut val recueille mon attention ,
Un monde en soi s’ouvre vers Sion , mes Veines y luisent à fleur d’adobe
Pour en saisir l’Onde par Chemins , Où le Printemps se cherche en Corps
Ce Lieu vivant accueille en Flore , Hors la Lumière mon Cœur d’Humain.
~
Ma nature mère au fil du Lien , cherche hors les murs sa rime en for ,
Le dire sous vers par Métaphores , combien ma muse assume n’est rien ,
Le Fait de côtoyer l’Ancien , sonne juste au long au delà du Nord .
Hors Saison d’un Hiver à Bord , dans les Brumes d’un Vallon Sylvin .
Une Foi demeure près de ces Terres , où Solitaire la trouve en l’onde ,
la Magie blanche est à pied d’œuvre , Ici sommeillent Esprits d’Hier,
Leurs énergies d’élémentaires , dans les lignes même de ce bas monde
Donnent pour la Source à la manœuvre . Qis d’Harmonies en l’univers.
Les yeux mi-clos certains somnolent , les rêves d’un Arbre sont d’origine
Profonde est l’âme de sœur racine , la voie des songes reste un saint bol
Toute quête donne lieu en Paraboles , à puiser Hors la clef d’Estime ,
Celle ci s’élève et puis s’arrime , Autour de marches en droits du Sol .
De vieux sentiers courent la Montagne , emplis d’échos au gré des Cimes
L’arbre en pilier renoue l’abîme , garde les cieux quand l’onde s’éloigne ,
Tout ces ancêtres honorent mémoire , le cycle sans fin à l’ombre prime
Hors le Savoir n’est point un crime , le Préserver reste notre Devoir .
Quand le Printemps visite la terre , le chant des Fleurs va rayonnant
Le Mauve nuance sans colorants , la belle Venue de dame Lumière ,
L’oripeau tisse à sa Bannière , une Fauve Crinière et Hurle aux Vents ,
« Voici en fin venu le Temps , des champs fleuris de primevères . »
Les hauts vestiges du bon vivant , sont fait à vie d’une noble matière
Hors nous ne sommes que poussières , en regard du cours de vos ans ,
Pour l’infime ici Opérant , ci~gît en vous l’écorce mère ,
Ô Derniers liens de nos Grands Pairs , Résistez à tout hors du Temps ,
Même le cœur sourd de nos enfants , a grand besoin demain d’hivers ,
Pour revivre un jour l’atmosphère , d’une rencontre aux voix d’antan .
Auprès des miens se trouve le calme , une sage raison d’aller aux bois ,
Sérénité en source de Joie , la Plénitude mon salut de l’âme ,
Dans le silence se trouve sésame , la clef en Hors ouvrant la Voie ,
Sain est l’esprit dont l’onde fait loi , son souffle qi discerne la Trame .
Sur les flancs gris de Balavaud , c’est l’hors du Songe pour les Mélèzes ,
Au Sortir des Frimas la Sève , dans l’Aubier tendre glisse ses mots ,
Le voile se lève à fleur de peau , les maux d’hivers en fin se taisent ,
Laissant pour trois saisons la chaise , aux lueurs d’hors du Chant Trio .
Les Couleurs d’Halos en présences , en perçant à jour les Aiguilles ,
Se mélangent à la feuille brindille , donnant corps aux mots par alliance
Au Sein du sol nul différences , la Vie nourrit aux Tours ses Filles,
Le Géant ouvrant l’œil distille , sur le seuil riche d’autres Naissances ,
Bribes de mémoires en connaissances , formule ces vœux à cette famille ,
En flore les liens de lumière brillent . en Lieu et place de seconde chance.
Il faut du Temps à l’évidence , pour se rendre compte par foi combien ,
Le Lien affleure auprès d’Anciens , dont le quotidien offre la nuance ,
Rien naît facile au fil des Sens , subtile est la voûte en Chemins ,
Taillant des clefs dans le Sylvin , pour nous dévoiler sa Présence .
Ciselés autour de sa Silhouette , deux visages d’hors cernent ce jour ,
Où dans les pas d’un libre cours , mes yeux croisèrent l’idée en Tête ,
La Magie veille au long d’une Quête , sur le serment du troubadour ,
Celui ci chantera à sa Tour , « Ton Arbre de Vie éloigne la Bête .
~
Ma lyre a su puiser en lettres , les mots venant à son secours ,
Ce monde ressent en cor l’amour , même si la haine au vent me guette
A ta couronne je puis promettre , veiller au sceau même le cœur lourd
Roi dans la brume je ferais tout pour, de mon vivant mieux te connaître
Hors sur la Cime les Esprits Veillent , A préserver l’âme de ces Lieux ,
Ces Vieux Gardiens sont Silencieux ,Haut dans la Brume dort ce Vallon ,
Un Monde en Liens parle d’Avalon , juste à portée des demis Dieux ,
Dont le Sillage jalonne les Cieux , de Flèches en vols croisant nos Âges .
La Reine d’ailleurs me dévisage , quel est cet être portant sa main ?
Vers le rugueux de mon écrin , Offrant ainsi le Lien des sages ,
Envers sa majesté l’hommage , apaise ses craintes et ouvre en bien ,
Un vrai dialogue nouant l’Humain , aux fibres d’hors de son ramage.
Enracinés depuis des Siècles , tels des Fantômes d’un autre Temps ,
Témoins vivant de nos changements , A l’aube ils chuteront peut être ,
L’Arbre sans statuts demeure inerte , Hors son Atour devient gisant ,
L’espace se trouve au main d’Argent, combien dehors perdront la tête ?
A cause du cours tout sauf honnête , de la valeur même de leurs champs
Laissant ma pensée sous le vent , prendre forme au fil de ma gouverne
Ce Songe en Hors par foi discerne , le vain au bon grain du vivant ,
Mon esprit plonge en cheminant , vers les racines de ma Lanterne ,
Elle regonfle mon moral en berne , Par des Paroles ceintes d’éléments .
~
Hors le Voyant vit bienheureux , le Cœur de l’Onde se veut touchant .
Là haut son corps dore ô couchant , un monde ailleurs fort merveilleux
Sous le couvert d’Arbres Silencieux , l’Esprit du Lieu veille son Vivant ,
Au Légendaire venant Aimant , la Part des Choses lui ouvre les Yeux.
~
NéO~
~La Dame des Voiles~
26 septembre 2010 § 69 Commentaires
Au long du cours de vaines Errances ,
Mon Cœur s’éprit un jour de l’Hôte ,
Vivant d’Accords par résonances ,
Sans savoir d’Hors à qui la Faute .
Son Chant d’Amour m’a Transpercer ,
Laissant mon Cor vibrer d’Avances ,
Au son Lumière venant d’Orées ,
Refléter l’Âme d’une saine Alliance .
~
Sentir au Jour ses Conséquences , Forgea en Moi Quatre Volontés , Tout comme la Courbe d’une Flèche en Vol , Son Arc de Cercle à l’évidence , Quitta la Pierre pour S’envoler. Tirant un Trait sur mes Regrets , La Dame des Voiles loin d’être Folle , Changea aux Tours ma quête de Sens . Des Flots Naissant de Son Pouvoir , Mon Bras de Mère reconnaissant , Au Fait de Faire Naître l’Espoir , Devint en Hors le Nom de Vaillant . Cinq Sceaux depuis manquent au Savoir , Pour en Mémoire voir l’Onde au Temps , Ouvrir le Voile de mon Regard , Sur l‘étoffe Trame du Haut Vivant. Bien Au Delà des Grands Mouvements , L’Ordre des Choses donne Lieu en Places , A des Natures dont le Différent , Remonte souvent à la Surface . Là où se meurent les Mondes Hélas , Subsiste un Souffle de l’Origine , Portant le germe du Flux des Masses , Sans cesse en terres sans voir les Signes , Hors la Nuance se Montre Digne , Sa Ligne au chœur par Choix fait Face . Foulant le Sol de son Empreinte Voir la Défunte de son Vivant , Pour l’Ignorant semble Hors d’Atteinte , Vivre dans la Crainte est Morfondant . Pour Un Nouveau Printemps sans Quintes , L’Enceinte de l’Une offre au Marchant , Un Atout Maître gagnant sans Feintes , La Dame dévoile son Jeu au Banc .~
Hors Lire ses Cartes demande un Œil , Couvant l’entier d’Entre deux Mondes , Au Gré de l’Onde l’Âme sur le Seuil , Distingue en l’âtre sa Flamme en Ronde . Apprendre à suivre en Connaissances , Ôte le Terne pour en seconde , Voir au Travers une deuxième Chance , D‘être Uni vers notre Source Profonde . Comprendre le Sens jumeau des Verts , Offre au Verso une Autre Lecture , Dame en Nature sème sans Mystère , Des Pierres à même d’ouvrir Serrures , Autant de Clefs tel ce Grand Pair , Dont l’aurifère dans un Murmure , Eveille en soie les Légendaires , La Forêt Mère du Roi Arthur . Parlant aux Arbres de l’Aventure , Ma Voie éclaire d’un Jour Nouveau , Les Songes Tissés sans Robe de Bure , L‘Hors d’une Retraite au fil de l’eau. Alliant le Vert & nombre d’Echos , Aux Yeux en somme à voir Plus Clair. Mes Frères de soie sans porte à Faux , Vous Souhaite bon Vent à la Lumière . ~ NéO~