~L’hors d’un Hiver, en terres de Songes~

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J’ai toujours vu l’Une en l’Arbre , sous son couvert les Feuilles s’ombrent 

La Traversée d’étranges Lumières , Offre en Nuances un Autre Monde .

Mon Âme ne sait rester de Marbre , face à la Mère dont l’or est nombre 

Explorant là son Univers , Mon Esprit s’ouvre au sens de l’Onde .

A sa mémoire ma muse prolonge , l’hors d’un Hiver en terres de Songes

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L’hors d’un Redoux entre Saisons , je pris au Temps quatre Secondes ,

Mon Haut Chapeau & trois Enfants , ma Dame Nature aux Rêves Divers

Pour voir au bout de ma passion , la Magie d’une nouvelle Mappemonde 

Redessinant les rives du Chant , dans le Sillage de Douces Lumières .

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Scellant mon Vœu à la Lisière , je voyais l’Once dans Herbe Blonde ,

Offrir en Chênes une vie Seconde , Plus d’un lingot au main de l’Hiver ,

Hors par Instants à découvert , brillaient leurs Veines loin à la Ronde ,

Ce centenaire menait la fronde , nul bois n’est mort sans être au clair.

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Ô branche basse ma main de chair , effleurait l’Hôte d’un coup de sonde 

Au grand jamais lachant sa bonde , l’esprit du lieu était sincère .

A son honneur sa bonne manière , portait le sceau dont l’une inonde 

La source racine des lignes profondes , courant le long des yeux du Vert 

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Arbres de ma Vie mon âme espère , parler en Frère de choses infimes ,

Ma voix est celle nouant la rime , aux Bribes perçues à la Lisière ,

Afin en Hors sans faire mystères , de rendre contes d’un Monde sublime 

Celui Où celle au delà de l’abîme , éclaire l’atour sous vents Stellaires .

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Une Ambiance lourde recouvre l’ère , l’air est chargé de Tragédie

Hier encore l’hors blanc ici , faisait son lit en Froid Polaire ,

L’environnement étant austère , le rêve au plus profond s’enfouit ,

La Faille sépare une Fourche Amie , depuis ce mât est Solitaire .

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Mon Ami Chêne en miroitant , d’un Chapeau Bas fait Connaissance ,

Au noble Même reçoit d’avance , mes quarante cernes allant de l’avant 

A l’Onde étant portés mes Ans , chacune reflète de Foi l’essence ,

A Force de vivre dans l’ignorance , j’en oubliais mon double Vivant .

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Il est des Lunes au firmament , dont le Croissant oriente mes sens ,

La Danse du Vent m’est confidences , sur la nature des éléments ,

A mon passage le plus frappant , demeure d’ailleurs cette ressemblance ,

Au fil d’échos je vois l’Alliance , comme une Mère voit son Enfant .

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Par le Néant l’homme est en Guerres , Naguère pourtant était la Vie .

Elle circulait autour du Fruit , Fleurissant l’Arbre à la Lumière .

Entourant l’ordre de belle Manière , la Source éclairait l’Âme d’Autrui.

Les Enfants de l’Une savait d’Esprit , le Lien nourrir un Espoir Clair .

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A sa Mémoire je suis Charnière , sur le Seuil d’Hors ma muse en Sorte ,

Avant l’ouverture de la Porte , recherche à l’Œil les Signes Mères ,

Certains se fondent dans la Matière , apparaissant en lettres Mortes ,

Ce songe d’éclats au bois m’apporte , un angle de Vie bien nécessaire.

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Le Merisier enlace sans gêne , prenant appui sur l’autre écorce ,

Ce Lien en Hors évoque la Force , tel un symbole de son emblème ,

Dans le Sillage ce phénomène , apporte la preuve quand tout se corse ,

L’épreuve à fait bomber le Torse , puis demander de l’aide en Chêne .

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Auprès d’orfèvres je grandis certes , mais demeure d’hors un nain géant 

Il me faut digérer l’élan , venant au fil de découvertes ,

A fleur de 4 accords ma quête , passe par l’écoute de l’enchantement 

Ma nature me fait barde vaillant , un maillon fort d’esprit Alerte 

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    NéO~